Enfiler une jolie robe
Celle qui tourne au vent
Guipure enchantée
Pour déjouer demain qui arrive trop vite
Le cœur comme un dimanche
Élégant
Juste assez détendu
Mais comme un enfant qui joue
En pensant à l’école
La tête comme un dimanche
Enrubannée de méditations fragiles
Sur des sonates de Beethoven
Piano mélancolique qui amplifie l’émotion
Et autorise les larmes
Traverser le jour à coups de lenteur
Retenir l’aiguille des heures
Jusqu’à l’engourdissement
La tiédeur romantique
Boire chaque seconde qui défile
Une après l’autre en cortège liquide
Sourire au contact du thé sur la langue
Mais toujours ce blues sous les paupières
Toujours
Cet accord de guitare
Qui rappelle au devoir
Cette voix rauque
Qui déchire le silence d’une sieste
Comme un dimanche
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Douce vie : un chapelet de dimanches.
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Ooooh que oui!
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